Et pendant ce temps-là, le PS verrouille l'élection présidentielle afin de réserver le monopole de la parole aux candidats de partis dits de gouvernement qui ne représentent plus, ensemble, qu'une minorité du corps électoral (autour d'un tiers si je ne me trompe). C'est certainement en cantonnant le débat adémocratique entre les tenants de la politique européenne unique qu'on va régler le problème de la désaffection des électeurs pour une parodie de démocratie vidée de tout contenu !

En attendant, le terrorisme a bel et bien une utilité : c'est le parfait cache-sexe d'une avalanche de lois liberticides.