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vendredi 23 juin 2017

De Nisyros... "une oeuvre magistrale..."

Il y a une chose que je n'imaginais pas, il y a quelques années, en ralliant Facebook sur le conseil d'un ami qui m'assurait que ce serai pour mi un moyen efficace de mieux faire connaître mes livres, c'est que ce réseau de rencontres virtuelles déboucherait sur des rencontres réelles. Or ce fut bien le cas à Paris, où plusieurs de ces rencontres ont débouché sur des amitiés et sur la constitution d'un réseau de connivences intellectuelles qui, un jour peut-être, prendre forme d'action...

C'est régulièrement le cas, lorsque je me déplace en province, pour des salons du livre ou des signatures, constatant à chaque fois que ce site, ce blog, ma page Facebook ont drainé vers mes livres des lecteurs avec lesquels se tisse parfois une relation d'une autre nature.

C'est même le cas à Nisyros où, en quelques jours, nous venons de passer deux riches et amicales soirées d'échange et de partage avec des amis Facebook qui ont fait le détour de notre volcan.

Pour le reste, Tigrane continue à susciter des réactions de lecteurs - celles qui me parviennent sont toutes très positives, et cela fait un immense plaisir, car ce livre, comme tous mes livres est né d'une indignation - devant la négation opiniâtre du crime - et de ma passion pour la liberté : parce que ce roman, comme tous mes romans, est né d'une irrésistible nécessité intime.

La dernière en date de ces réactions, je la découvre sur un site de critiques de lecteurs, ici, à Nisyros, dans la rue en escaliers, sous la maison, assis sur une marche à moitié à l'ombre, l'ordi sur les genoux, là où je capte à peu près bien le wi-fi.

"Une œuvre magistrale bien rythmée et efficace" : que souhaiter de plus pour conclure ce beau papier ???

lundi 19 juin 2017

De Nisyros... Tigrane l'Arménien lu par le Collectif Van

Arrivée à Nisyros hier (pour la première fois en 41 ans de vie citoyenne, je me suis abstenu : nulle envie de départager, dans ma circonscription, la peste Sarnez du choléra Szpiner...), et aujourd'hui je découvre la critique de "Tigrane l'Arménien" par le site VAN (Vigilance arménienne contre le négationnisme).

Sans doute un des médias dont la lecture et la critique sont pour moi les plus importants !

Pour le reste, Génie sans bouillir ayant donc sa majorité - même moins béton que prévue et avec un taux de participation qui la prive de toute légitimité - nous allons morfler - à la grecque !!!

Bon courage à toutezéatous comme annone notre dieu vivant !

dimanche 4 juin 2017

"Tigrane l'Arménien" dans "Nouvelles d'Arménie magazine"

Sous la plus de Christophe Chiclet, Nouvelles d'Arménie magazine, un des médias les plus diffusés chez les Français d'origine arménienne, consacre à mon Tigrane l'Arménien une page entière dans son numéro de juin. Je ne saurais vous dissimuler mon plaisir !

L'Homme qui rit des noyés...

1917 : Poincaré, président de la République, est surnommé "L'homme qui rit dans les cimetières" par "L'Humanité"... En réalité, l'expression du visage de Poincaré ainsi exploitée était due à un rayon de soleil venu percer le ciel nuageux au moment où le président se recueillait.

2017 : Génie sans bouillir, sans ciel nuageux ni soleil, plaisante avec esprit : L'Homme qui rit des noyés.

"Le kwassa-kwassa pêche peu, il amène du comorien ! C'est différent" ; et toute l'élégance est dans le "du".

Les castors, ils ont fait barrage à quoi, déjà ?...

Mais c'est vrai que Génie sans bouillir est désormais le leader incontesté du monde libre...

Allez, que tout cela ne vous fasse pas oublier...

jeudi 1 juin 2017

La Crète à l'honnneur... Hugo aussi

Merci au site Retronews de la Bibliothèque nationale de France de m'avoir sollicité pour un papier sur l'histoire grecque.

Le principe c'est d'aller fouiner dans les archives de la presse que la BNF a mises en ligne pour illustrer un propos. J'avais ma petite idée : la révolte de Crète de 1866, l'Holocauste d'Arkadi écho de celui des Serbes en 1809 dans la plaine de Nis et de celui de Missolonghi en 1826, Hugo et même un lien avec la Commune à travers Flourens, qui combattit en Crète où il échappa aux Turcs avant de tomber sous les balles d'un Versaillais...

Et ça a parfaitement marché, et c'était passionnant à faire : puisque c'est le principe, cliquez sur les liens vers les articles d'époque, vous verrez, on n'était pas si mal informé !

C'est à lire ici, en libre accès durant une semaine ; après ce sera réservé aux abonnés.