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vendredi 29 août 2014

Sur France 2, la propagande et la désinformation n'ont plus de limites

Après les "chroniques" de ces derniers jours de la dame Saint-Cricq, modèle de malhonnêteté intellectuelle et de partialité, après les analyses d'"experts", toujours ultralibéraux et eurolâtres, voilà que le journal télévisé de France 2 a franchi, ce soir, un nouveau cap dans l'odieux, le nauséeux, le dégueulasse pour tout dire.

Ca commence par une photo de manif, fixe. Et Pujadas qui vous dit : ça c'était la cata en Grèce, il y a deux ans, la contestation et l'effondrement du tourisme. Mais c'est fini, bonnes gens ! Suit un reportage idyllique de 5 minutes : les touristes sont de retour, et ce sont des Français : + 30 % ! Hourrah !!! En subliminal : la Grèce a su surmonter ses démons, consentir les indispensables sacrifices que nous rechignons à consentir, donc elle est sortie d'affaire. La preuve ? Trois interviews sur l'Acropole et dans un hôtel club pour mononeuronés...

Ca c'est de l'info ! de la vraie !! Béton !!! Bouygues ne ferait pas mieux... ou pire.

Rien sur le changement de nature du tourisme en 4 ans, passé d'un tourisme qui irriguait l'économie locale au triomphe du all inclusive qui enrichit les multinationales du tourisme anglaise, suisse, allemande, française... et plus du tout les petits hôtels ou commerces de proximité qui continuent à crever...

Rien sur le dynamitage des conventions collectives, et les salaires de misère - moins de 400 euros - qui sont devenus le lot commun dans le secteur touristique par la grâce de Merkel et de la Troïka (UE, Banque centrale européenne, FMI), certains patrons dans le tourisme offrant désormais pour seule rémunération le gîte et le couvert (un rêve pour Macron, Hollande, Valls et leurs 200 socio-traîtres)...

Rien sur le fait que, bien plus que la clientèle française, le tourisme grec est sauvé du désastre par la croissance exponentielle de la clientèle russe. Car pendant que Merkel, l'UE, Hollande et les siens liquident les classes moyennes d'Europe occidentale, la Russie de Poutine voit leur ascension spectaculaire...

Si l'on ajoute à cela un compte-rendu de la situation en Ukraine essentiellement fondé sur la conférence de presse d'un type de l'OTAN en treillis, avec des photos de l'OTAN (qui ne se souvient de celles de Colin Powell et des missiles irakiens prêts, selon Blair à être tirés sur Londres ?... qui ne se souvient des innombrables mensonges du chargé de com de l'OTAN au temps de la guerre illégale contre la Serbie, durant et après laquelle l'OTAN a couvert les crimes contre l'humanité et le nettoyage ethnique des mafieux trafiquants d'organes de l'UCK aujourd'hui à la tête de l'Etat mafieux du Kosovo ?...), on comprendra que le journal de ce soir était un chef-d'oeuvre de propagande et de désinformation.

Peuvent-ils aller plus loin ? En tout cas, le docteur Goebbels est déjà largement distancé.

mercredi 27 août 2014

Discours d'investiture devant le MEDEF

Valls investi par le MEDEF, c'est l'essentiel. Pour l'Assemblée, ça attendra.

Vous me direz qu'un discours d'investiture d'un Premier ministre prononcé devant le MEDEF, c'est une première, mais c'est normal : pour un gouvernement de gauche, le MEDEF c'est quand même nettement plus important que l'Assemblée.

De toute façon, comme nous ne sommes plus en démocratie, mais en Union européenne, c'est-à-dire en régime oligarchique, on peut très bien se passer d'Assemblée.

Et puis ça ferait des économies qu'on pourrait redistribuer aux entreprises pour qu'elles augmentent leurs dividendes.

C'est pas Macron qui va dire le contraire.

Lagarde mise en examen

Et tac, encore une !

Mais il ne faut pas généraliser, la caste politique des partis qui dirigent ce pays depuis quarante ans n'est pas pourrie jusqu'à la moelle, la nomenklatura qui nous sert d'"élites" ne fonctionne pas unanimement sur la connivence, elle n'est pas persuadée d'être au-dessus des lois, pas plus qu'elle n'est incompétente, pas plus qu'elle ne trahit, par Europe et soumission à Merkel interposées, les intérêts fondamentaux du peuple. Et faire nommer quelqu'un qui traînait déjà de telles casseroles au moment de sa nomination, après un type incapable de contrôler sa bite, n'affaiblit nullement la crédibilité de la France.

Le prétendre, contre tout bon sens, serait une preuve indubitable qu'on est un méchant populiste, et d'ailleurs ce serait faire le lit du Front national. Bref, tous ces gens qui se sont appropriés la chose publique et la détruisent systématiquement, jour après jour, d'échecs en pantalonnades gouvernementales et de pantalonnades gouvernementales en "affaires", sont parfaitement à leur place : qu'ils ne s'en aillent pas tous !

mardi 26 août 2014

Trahison, colère

Mon ennemi c'est la finance, donc... je nomme un banquier de chez Rothschild à l'Economie.

D'une logique imparable.

Ils devraient prendre garde, malgré tout. Car à se foutre ainsi de la gueule du peuple, chaque jour davantage, chaque jour plus ouvertement, chaque jour avec plus de morgue et d'inconscience, en faisant chaque jour un pas de plus dans ce qu'il faut bien appeler la trahison, certains se préparent des lendemains... douloureux.

Je pense, je dis et je répète que, malgré le décervelage audiovisuel et les chiens de garde, cela finira mal. Très mal.

Moi je dis ça, je ne dis rien...

"Dans ce cas, ne serait-il pas plus simple pour le gouvernement de dissoudre le peuple et d'en élire un autre." Bertold Brecht...

lundi 25 août 2014

Crise gouvernementale

C'est la première fois depuis 1962 que le délitement d'une majorité génère en France une crise gouvernementale. Face à la même situation, de Gaulle était retourné devant le peuple et c'est la seule solution démocratique. Mais nous ne sommes plus en démocratie que formelle, nous sommes en Union européenne, régime oligarchique qui évolue depuis cinq ans vers la dictature de fait et le suicide collectif des Européens sous la houlette de l'Allemagne - pour la troisième fois en un siècle.

Cette situation n'est que la conséquence de la trahison initiale, par Hollande, du mandat qui lui a été donné par le peuple - la renégociation du traité budgétaire dicté par Merkel et qui finit de priver le peuple français de sa souveraineté, dans la logique des traités scélérats inaugurée par l'Acte unique de 1986 -, trahison aussi, des intérêts fondamentaux de la nation. De même que Sarkozy, avec l'appui du PS, avait trahi la nation, la République, le peuple, en faisant passer par lavement parlementaire le copier-coller du traité repoussé par référendum.

Il ne reste à Hollande qu'à poursuivre la politique de Papandréou, à capituler devant chaque Diktat imbécile et criminel (on meurt chaque jour de cette politique, en Grèce) de Merkel. Comme lui, élu en 2009 avec 44% des voix, il verra sa majorité continuer à s'effriter jusqu'à ce qu'il ait besoin de l'appui de la droite pour persévérer dans le non-être. Puis il lui cédera la place, et le PS, comme le PASOK grec, deviendra la force d'appoint de la droite - entre 5% et 8% des voix.

Car la logique démocratiquement suicidaire de l'irréformable Union européenne, c'est de réduire à ce point l'assise et de faire à ce point exploser le discrédit des partis dits de gouvernement (55% des 55%, au mieux, des citoyens qui se déplacent encore pour voter, c'est-à-dire 30 à 40% du corps électoral) contraints à conduire, qu'ils soient de droite ou qu'ils se disent de gauche, la même politique sans alternative, qu'ils doivent finalement gouverner ensemble.

Jusqu'à quand ? Jusqu'à quelle catastrophe ?

dimanche 24 août 2014

Sondage...

- C'est encore loin, François, le fond ?

- Creuse, Manuel, et continue à ouvrir ta grande gueule pour faire croire que ce n'est pas Merkel qui gouverne.

Montebourg, Hamon : cynisme ou incohérence ?

Mais au juste, que font un ministre de l'Economie et un ministre de l'Education nationale dans un gouvernement dont ils considèrent que la politique conduit le pays à la catastrophe et au renoncement face à l'Allemagne, jette le peuple dans les bras de l'extrême droite ? On atteint soit le comble du cynisme (je reste parce que mieux vaut être ministre de la catastrophe que citoyen luttant contre) soit le comble de l'incohérence intellectuelle.

Car il est évident, pour ces ministres comme pour les députés qui se disent encore de gauche dans ce parti de droite qu'est le PS, qu'ils n'obtiendront rien du dedans. 2 ou 3% de plus ou de moins dans un congrès aussi insincère et faussé par les logiques et les tractations d'appareil que les précédents n'y changeront rien.

La "stratégie" qui consiste à dire qu'il vaut mieux être dedans que dehors pour "influencer", est la même qui a servi d'alibi à Pétain (en restant en France sous tutelle nazie, je protège les Français du "pire"), de prétexte à Chirac-Sarkozy pour réintégrer l'OTAN, qui nous conduit à rester d'ans l'euro et l'UE qui rendent inéluctables la récession, la désindustrialisation, la destruction de l'Etat social, la hausse sans fin du chômage. Mais cette stratégie est toujours perdante, on n'influence jamais rien, on n'infléchit jamais rien du dedans. On ne va que de renoncement en capitulation.

Seuls le Non, la rupture, la résistance, la chaise vide, le refus du soi-disant inéluctable sont créateurs, porteurs d'avenir.

Le moindre mal engendre toujours le pire.

C'est le principal enseignement de De Gaulle, face à Vichy, face à l'Europe comme face à l'OTAN.

samedi 23 août 2014

Mélenchon

Comme d'habitude, parfaitement d'accord avec Mélenchon...

Et comme d'habitude, il manque un volet : il n'y aura pas de sortie de crise, il n'y aura pas de reconquête de l'électorat populaire passé directement de la gauche au FN, il n'y aura pas de construction d'une VIe République, en tout cas pas de nature démocratique, sans une sortie immédiate de l'euro, et sans faire sauter le bastringue de l'Union européenne. La priorité, aujourd'hui, est de tenir un discours clair sur l'indispensable reconquête de la souveraineté nationale, c'est-à-dire de la souveraineté populaire que l'Union européenne a, traité après traité, remplacé par un régime de nature oligarchique.

C'est parce qu'on a laissé au FN le monopole du discours sur cette indispensable reconquête - un FN qui le détourne en haine de l'Autre, alors que la Nation c'est d'abord et avant tout un élan vers la liberté collective de disposer de son destin contre le règne des tyrans et des oligarques, vers l'Etat de droit contre l'arbitraire, vers l'égalité contre le statut personnel dépendant de la naissance, de la fraternité plutôt que du profit comme règle ultime et du chacun pour soi somme horizon -, c'est parce qu'on a confondu le projet européen, qui n'est et ne peut être que néolibéral et destructeur de l'Etat social et qui ne peut être réformé, avec l'internationalisme, qu'on a laissé le peuple au FN.

Pour mémoire, réécouter ce très riche entretien de Frédéric Lordon avec la rédaction de Mediapart.

mardi 19 août 2014

Kosovo : l'horreur !

Un rapport de plus sur les horreurs inimaginables de l'UCK (prélèvement d'organes, aux fins de trafic, sur des prisonniers civils et militaires vivants, sans anesthésie), dont le chef, Thaçi dit Le Serpent, grand copain de Merkel, Premier ministre et mafieux en chef de l'Etat mafieux du Kosovo sous protection germano-franco (hélas, troisfois hélas!)-américaine, qu'a couvertes, dans l'enthousiasme unanime des chiens de garde médiatiques, l'intervention "humanitaire" des Occidentaux et le proconsulat Kouchner, fondés sur des mensonges, des mises en scène et des montages dont l'OSCE, comme en Ukraine aujourd'hui, a été l'un des acteurs.

Deux textes fondamentaux de Jacques Sapir

Une lettre ouverte à Jean-Luc Mélenchon et une lettre ouverte à François Hollande, auxquelles je ne changerais pas une virgule, tant elles disent exactement ce que je pense.

A lire et relire !

jeudi 14 août 2014

La baisse de la baisse du PIB en Grèce : encore un succès européen !

Le PIB grec "n'a baissé que" de 0,2% au 2e trimestre 2014.

Hourrah !!!

C'est vrai qu'après 24 trimestres consécutifs de baisse pour une perte de plus du quart du PIB de 2008... c'est encore un sacré succès de la stratégie Merkel-Sarkhollande-Draghi-Lagarde-Barrojuncker de la purge suivie d'une saignée précédant une nouvelle purge.

Une monnaie imbécile et criminelle, une Europe allemande et aveugle, une politique stupide et irresponsable...

Une monnaie imbécile et criminelle qui a saigné à blanc l'Europe du Sud et tue chaque jour en Grèce, des gens qui n'ont plus de boulot, des vieux qui n'ont plus que des retraites de misère, des gens qui ne peuvent pas se payer des assurances maladie privées et qui meurent faute de soins, qui continuera à tuer des enfants qu'on ne vaccine plus...

Une monnaie imbécile et criminelle qui a étouffé l'Europe du Sud, au nom de laquelle on a sacrifié l'Etat social et baissé les salaires, ce qui tue la consommation intérieure et installe, au coeur de l'Europe, la concurrence du moins disant social et salarial, déjà appliquée lors de l'intégration de l'Europe de l'Est, les deux, la monnaie et la concurrence, étouffant aujourd'hui ce qui reste de production française...

Une monnaie imbécile et criminelle qui catalyse les effets dévastateurs du refus de toute protection douanière (imposé par l'Allemagne, dont les "succès", précaires et provisoires, ne sont fondés que sur sa démographie déclinante, une industrie de niche, l'exploitation des semi-esclaves d'Europe de l'Est et la ruine de ses voisins) qui met en concurrence des esclaves et des travailleurs protégés, lesquels ne peuvent finir qu'au chômage, dans la précarité et la misère.

Une Europe allemande aveugle, sourde, bornée et des "socialistes" français aussi lâches que leurs glorieux devanciers de 1940 votant les pleins pouvoirs à Pétain, qui ne voient comme seule issue que de supplier la chancelière de fer...

Une politique de déflation et de récession qui ne peut produire que de la déflation et de la récession. Monnaie surévaluée et politique de déflation, un coquetèle semblable à celui des années 30 : même politique que celle du chancelier chrétien démocrate (on disait Zentrum) allemand Brüning qui a amené Hitler au pouvoir, même politique que celle conduite par la chambre "de gauche" élue en 1932 et qui a conduit au 6 février 1934, encore aggravée par l'ancien socialiste Laval... jusqu'au sursaut du Front populaire.

Je ne cesse d'écrire, ici et ailleurs, que cette monnaie imbécile et criminelle, cette Europe allemande et aveugle, cette politique stupide et irresponsable nous conduisent à un suicide collectif.

J'avais écrit, bien avant que les sondages ne le confirment, que le FN arriverait en tête des Européennes si on s'obstinait dans cette voie sans issue.

Je n'ai cessé d'écrire qu'une monnaie imbécile (les économies européennes n'ont ni les mêmes forces, ni les mêmes faiblesse, ni les mêmes contraintes, elles ne peuvent avoir la même monnaie, dont le taux de change, criminel, imposé par l'économie la plus forte, tue toutes les autres) et une politique de déflation interdisent toute croissance, tout rebond, qu'elles ne produisent et ne produiront que de la récession, du chômage, de la précarité, de la misère, du malheur, et donc de l'exaspération, de l'extrémisme... de la mort.

Je n'ai cessé de dire que le discours de nos nomenklaturas - qui ont dévoyé la démocratie en la transformant en concours de beauté entre ceux qui prétendent à mener la "seule politique possible", celle du désastre - politiques, bancocrates et médiatiques relevait soit de la méthode Coué, soit, comme en Grèce, de la duplicité et du cynisme, cette "crise" leur donnant le prétexte d'appliquer la stratégie du choc dont le but est d'imposer la liquidation de l'Etat social et de la démocratie, la baisse sans fin des salaires et des dépenses publiques, l'extinction de l'Etat comme représentant de l'intérêt général, la privatisation de l'enseignement, de la santé et de tout patrimoine national. Ce qui est le projet libéral, dont l'Europe n'est que le cache-sexe et le vecteur.

Hélas, les chiffres de déflation sortis hier et ceux de récession d'aujourd'hui me donnent une fois de plus raison. La "crise" s'aggrave, pas par hasard ou par faute à pas de chance, mais à cause des politiques imposées par Merkel et permises par la lâcheté d'Hollande.

Le FN a de beaux jours devant lui ! D'autant plus que la gauche radicale, fascinée par le python européen qu'elle confond avec un signe avant-coureur de l'internationalisme alors qu'elle n'est que la manifestation de l'ultralibéralisme, est pathologiquement incapable, dans ses expressions partisanes, de tenir le discours clair, net, pédagogique, de l'indispensable rupture, totale, radicale, avec le bastringue européen ; elle est incapable de dire clairement que la reconquête économique et sociale passe par la reconquête de la souveraineté nationale.

Alors rien ne sert de pleurnicher ou de se scandaliser devant l'inexorable montée de Le Pen qui, la prochaine fois ou celle d'après, sera élue président de la République sur les ruines d'une droite qui a trahi l'héritage gaulliste et d'une gauche qui a abandonné toute conviction et tout volontarisme. C'est pleurnicher devant le ou se scandaliser du doigt qui montre la lune ! Le FN n'est que le doigt ; la lune c'est Merkel, Juncker, Sarkhollande, leur monnaie imbécile et criminelle, leur Europe allemande et aveugle, leur politique stupide et irresponsable.

Retour... provisoire

Me voilà rentré... après deux mois de Nisyros - magiques, comme d'habitude, malgré un temps étrange, plus de fin de printemps que d'été, des soirées souvent fraîches, des passages nuageux comme je n'en ai jamais vus en juillet depuis 41 ans que je fréquente ce pays, et 21 cette île...

Une présentation magique de ''La Grèce et les Balkans'' sur le toit de Lexilogos à Athènes (merci encore Panagiotis Tsoumas, Vassia Karabelias, Catherine Teuler et à tous ceux qui sont venus...), plage et balades, la paréa, ouzo et retsina, mérou, cochon rôti, seiche grillée, skordalia, pitia et tout le toutim, mais aussi correction des épreuves de La guerre de 14 commence à Sarajevo, L'Attentat, Les enjeux, Les débats à paraître chez Hatier en septembre, bricolage intensif : menuiserie pour réparer le balcon et un volet en partie pourri, peinture desdits balcons et volets, d'un autre, de la porte d'entrée et de celle de la salle-de-bains et puis écriture, écriture, écriture : ça a marché d'enfer et le manuscrit de mon prochain roman est presque terminé !

C'est tellement bien, après les 2000 pages de La Grèce et les Balkans puis les 138 de Sarajevo de revenir à l'écriture romanesque. Jouissance, plaisir d'écrire et de redevenir Pantocrator/démiurge...

Et puis bientôt un court retour là-bas pour faire la relecture à haute voix avec Frédéric.

De plus les nouvelles de l'été n'ont pas été mauvaises :

La Grèce et les Balkans est en course pour le prix du livre d'histoire des Journées de Blois, et pour le prix "Monde en paix monde en guerre" du salon du livre de Verdun,

et je le présenterai :

- aux 24h du livre du Mans, à l'invitation des Amitiés franco-grecques, les 3-4-5 octobre;

- à la librairie Kleber de Strasbourg, à l'invitation de la Communauté hellénique, le 17 octobre ;

- au salon du livre de Verdun les 8 et 9 novembre;

- à la MJC de Romans sur Isère le 13 novembre.

Enfin, le MUCEM m'invite à Marseille pour les journées consacrées à la Grèce aujourd'hui à la fin novembre...

Bref, si l'été a été/est riche, l'automne s'annonce actif !