Chers amis,

Excusez-moi d'être absent de ce blog ces temps-ci. Mais Paris me réservait une tragique nouvelle à notre retour.

Maman est hospitalisée et il n'y a aucun traitement qu'elle puisse supporter.

Comme les politicaillons qui prétendent nous diriger tremblent de trouille devant les lobbys opposés au droit des malades à décider de leur mort, on lui refuse, bien sûr, le moyen de partir vite qu'elle a demandé.

Je l'aime. Si fort. Je lui dois une (grosse) partie de ce que je suis devenu.

Tout mon temps et mon énergie disponibles sont donc pour elle.