Ceux qui suivent régulièrement ce blog savent qu'il y a longtemps déjà que j'écris que ce qui se passe en Grèce est une spoliation à une échelle à mon avis unique en temps de paix. J'ai parlé dès 2015, je crois, de la saison des vautorus et que nous en voyions les résultats dans notre île.

Cette fois, c'est Courrier international qui s'intéresse à ce processus, imposé par l'UE et servilement mis en oeuvre par le gouvernement Tsipras.

Ou comment le libéralisme, dans le cadre européen, géré par un gouvernement dit de gauche radicale, aboutit à l'abolition du droit de (petite) propriété, non par la socialisation, mais par la confiscation au profit essentiel de l'étranger... et des plus riches.