L'Attique brûle.

7 foyers allumés en même temps semble-t-il, dont certains dans des régions désertes où personne ne va

Puis un feu qui se propage grâce à un vent terriblement déchaîné: plusieurs centaines de maisons brûlées, et déjà au moins 70 morts : un désastre.

Tragédie absolue... une de plus qui s'abat sur mon pays de coeur, martyrisé depuis 2010 par l'Euro-Germanie...

Quels que soient les causes - criminelles d'après l'Exécutif, il reviendra à l'enquête de l'établir et si oui, criminalité économique, intérieure ou extérieure en vue de déstabiliser un peu plus un pouvoir à l'agonie ? - et les dysfonctionnements propres à la Grèce (permis de construire, constructions illégales, défaillances des services locaux), ce bilan tragique et qui ne cesse d'augmenter est bien sûr lié au milieu (un des incendies a gagné des zones d'habitat dispersé dans une immense pinède), à des conditions météo exceptionnelles (un vent d'une force inaccoutumée) ; il ne peut être pour autant découplé des politiques criminelles imposées à la Grèce par la Germano-Europe depuis 2010, qui ont écorché ce pays, qui l'ont affaibli à tous les points de vue, qui ont aggravé tous les dysfonctionnements auxquels elles prétendaient remédier (évidemment les coupes dans les salaires et les droits sociaux ne font que renforcer la petite corruption des "enveloppes" qui devient un revenu de complément nécessaire pour permettre aux fonctionnaires de survivre, comme elles diminuent l'efficacité de tous les agents publics, municipaux comme les autres, qui doivent occuper un ou deux autres emplois) et, comme il et qui ont touché, bien entendu, les pompiers comme les moyens matériels de lutte contre l'incendie.

Seule face aux spéculateurs qui ont mis la Grèce à genou en 2010, seule face aux provocations et violations de sa souveraineté par une Turquie (dont on sait aujourd'hui, par le témoignage de l'ancien Premier ministre Yilmaz, que ses services spéciaux furent à l'origine de vagues d'incendies dans les îles durant les années 1990...) financée par l'UE dans le même temps où celle-ci étrangle la Grèce, affaiblie par bientôt dix ans de politiques euro-germaniques criminelles dont les Nomenklaturas locales, y compris celle de gauche dite radicale, se sont faites les serviles relais, seule face au renvoi de 1500 migrants dont la si généreuse Merkel ne veut plus, la Grèce se trouve aujourd'hui confrontée à une tragédie d'ampleur exceptionnelle - une de plus .