C'est la traduction en grec de "Gilets jaunes".

A la taverne du village, hier soir, avec deux copains grecs. Bien sûr, on parle des Gilets jaunes. Iannis, qui fut cadre régional Syriza, membre suppléant du CC, et qui, depuis 2015 qu'il a démissionné après la trahison de "vous savez qui", a le plus grand mal à re-croire en qui et en quoi que ce soit, fait le parallèle avec les Indignés espagnols et grecs et dit : "oui mais tu vois bien sur quoi ça a débouché..." Et Dimitri : "oui mais avec la France, c'est pas pareil, les révolutions ils savent faire, les révolutions sont toujours parties de France".

Et oui, Françaises, Français, la France ça signifie toujours quelque chose dans le monde, et ça ne signifie certainement pas Macron.