Angela Merkel vient d'annoncer sa candidature à la présidentielle française depuis le Palais de l'Elysée.

Dans les milieux bien informés, on pense que, si elle est élue, elle prendra Nicolas Sarkozy comme Premier ministre.

En 2007, Sarkozy léchait les pompes de Bush et nous bassinait avec le modèle américain, proposant d'importer les subprime tellement précieux pour permettre aux salariés pauvres multipliés par le capitalisme dérégulé d'acheter leur logement et de continuer à faire tourner artificiellement la machine à enrichir les plus riches au dépens des autres...

En 2012, il lèche les pompes de Merkel et se gargarise du modèle allemand qui multiplie les travailleurs pauvres, ne fonctionne que grâce à un dumping social qui entraîne tous les travailleurs européens vers le bas et nous condamne à une récession qui fera exploser la dette.

La vérité, c'est que ce type a l'esprit faux, qu'il a besoin de lécher les bottes de quelqu'un, méprise son pays et qu'il éprouve un besoin maladif d'admirer les exemples les plus nazes et les plus dangereux - un peu comme Laval avec le IIIe Reich.