Mon cher et vieux pays, la France, a connu bien des vicissitudes.

A plusieurs reprises dans son histoire, elle a failli disparaître sous les coups de l'Etranger conjugués à ceux des traîtres et des salauds de l'intérieur entre les mains desquels elle était tombée.

Mais que les traîtres et les salauds soient "en même temps" une pareille bande de brêles et de... branleurs, c'est tout de même inédit !

Mais qui sont décidément ces gens ?! Comment peuvent-ils penser qu'ils sont capables de diriger la France ou sa capitale ?

Ils sont une insulte quotidienne à ce pays, à sa culture - qui existe, n'en déplaise au branleur et à la brêle, chef des salauds et des traîtres -, à son histoire.

Comment peuvent-ils penser, si ça leur arrive parfois par accident, qu'ils peuvent trahir, brutaliser, insulter ce peuple du matin au soir et du soir au matin sans que jamais rien ne retombe sur leurs sales petites gueules de pitres foireux ?

Et aussitôt le choeur des Vierges médiatico-politiques de s'indigner de la violence des réseaux sociaux et tout le tralala habituel...

Mais qu'on arrête de nous casser les couilles avec les grands méchants qui utilisent la bite à Griveaux et violent son intimité !

Ce type est un personnage public, à tout le moins totalement irresponsable et parfaitement indigne d'occuper la fonction qu'il prétendait occuper.

Vous me direz qu'il n'est pas le seul !

C'est faire donc oeuvre de salut public de montrer son irresponsabilité.

1 - Chacun fait ce qu'il veut de son cul,

2 - personne n'est obligé de photographier sa bite et de la diffuser sur le Net avec des propos vulgaires,

3 - comment peut on accepter que des types qui sont à ce niveau d'irresponsabilité - celui d'un gamin de 12 ans dans une cour d'école - aient accès aux fonctions et aux secrets d'Etat ???!!!

J'ajoute ici le commentaire publiée sur Facebook par une journaliste de Causeur, que j'apprécie de plus en plus, Anne Sophie Anne-Sophie Chazaud. Il remet les pendule à la bonne heure.

"Allons bon, c’est reparti.

Les jérémiades unanimistes sur les méthodes employées pour saper la candidature Griveaux qui avait déjà un sérieux coup dans l’aile.

Culpabiliser l’opinion forcément voyeuriste, forcément coupable, et, comme d’habitude, les méchants réseaux sociaux.

Je suis évidemment en désaccord. Non pas que je cautionne ce genre de procédés qui, de toute évidence, émanent de son propre camp politique lequel ne savait pas comment s’en débarrasser.

Mais parce qu’on parle subitement d’intimité, de droit à la vie privée, de dignité, de décence, de violence.

Pardon mais qui a décidé en août 2017 de publier un décret ignoble visant à étendre la surveillance des propos (discriminants, injures, diffamation et ouin ouin et compagnie) dans la sphère des conversations privées, sinon cette majorité, qui aujourd’hui, tout à coup, redécouvre les vertus de l’intime ?

Par ailleurs, qu’y a t il dans le cerveau d’un homme politique qui se veut de premier plan, en 2020, pour ne pas être au courant qu’on ne se produit pas sexuellement sur les réseaux ? C’est quoi l’âge mental là ? Ou bien s’agit-il d’un tel sentiment d’être intouchable que l’on n’a à se soucier de rien ?

Enfin, parlant de dignité, moi ce que je trouve indigne et obscène, c’est cet État en totale débandade, ce pouvoir politique en complète déroute qui ne tient plus que sur le fil ténu d’une répression insensée, dont la parole publique est totalement déconsidérée et sans valeur. Réjouissons-nous, paraît-il, ce sont des amateurs.

Ce que je trouve obscène plus sûrement qu’une branlette qui m’indiffère et dont je n’ai que faire au delà du théâtre de Guignol, ce sont les paroles abjectes de Benjamin Griveaux sur le peuple Gilets Jaunes, cette vile populace qui fume des clopes et roule au diesel. C’est cette morgue et ce mépris.

Dans mon registre de valeurs, l’obscénité des méthodes, l’indignité et la violence, elles sont là.

Le reste ne nous regarde ni ne nous intéresse pas, sauf qu’il y a toujours un moment, lorsqu’on pisse en l’air, où l’on prend le risque que cela ne vous retombe dessus.