La Banque du Pirée décide, pour ces clients répondant aux critères de la loi d'aide aux plus défavorisés victimes de la crise, l'annulation des dettes, jusqu'à 20000 euros, contractées par crédits à la consommation et cartes de crédit, le gel des prêts hypothécaires et la suspension des intérêts de ces prêts jusqu'à ce qu'ils sortent des critères de la loi.

Ca devrait plaire à Draghi et consort !

Pendant ce temps-là, selon Reuters, Varoufakis déclarait : "Nous ne pouvons plus bluffer. Quand je dis que nous finirons par quitter l'euro, si nous devons accepter une austérité plus insoutenable, il n'y a là aucun bluff" : tic tac tic tac...