OD

Comme on n'avait vraiment plus rien en magasin,

Une fois que, esclave de son braquemart,

Griveaux l'eut exhibé au pays qui se marre,

Il ne leur restait plus qu'à nous fourguer Buzin.

La dame a plein de bons amis pharmaceutiques

Elle sait fermer les lits, couler les hôpitaux,

C'est infiniment mieux que le vit de Griveaux:

La République en branle a trouvé sa tactique!

Buzin a la santé d'une liquidatrice,

De Paris, Jupin la voudrait impératrice,

Puisque Griveaux, victime de sa pine,

Roi des cons seulement, a pu être sacré.

Peu importe, dit Macron, qu'elle se fasse massacrer,

Devant les Parisiens, c'est Buzin qui tapine.

Mon cher et vieux pays, la France, a connu bien des vicissitudes.

A plusieurs reprises dans son histoire, elle a failli disparaître sous les coups de l'Etranger conjugués à ceux des traîtres et des salauds de l'intérieur entre les mains desquels elle était tombée.

Mais que les traîtres et les salauds soient "en même temps" une pareille bande de brêles et de... branleurs, c'est tout de même inédit !

Mais qui sont décidément ces gens ?! Comment peuvent-ils penser qu'ils sont capables de diriger la France ou sa capitale ?

Ils sont une insulte quotidienne à ce pays, à sa culture - qui existe, n'en déplaise au branleur et à la brêle, chef des salauds et des traîtres -, à son histoire.

Comment peuvent-ils penser, si ça leur arrive parfois par accident, qu'ils peuvent trahir, brutaliser, insulter ce peuple du matin au soir et du soir au matin sans que jamais rien ne retombe sur leurs sales petites gueules de pitres foireux ?

Et aussitôt le choeur des Vierges médiatico-politiques de s'indigner de la violence des réseaux sociaux et tout le tralala habituel...

Mais qu'on arrête de nous casser les couilles avec les grands méchants qui utilisent la bite à Griveaux et violent son intimité !

Ce type est un personnage public, à tout le moins totalement irresponsable et parfaitement indigne d'occuper la fonction qu'il prétendait occuper.

Vous me direz qu'il n'est pas le seul !

C'est faire donc oeuvre de salut public de montrer son irresponsabilité.

1 - Chacun fait ce qu'il veut de son cul,

2 - personne n'est obligé de photographier sa bite et de la diffuser sur le Net avec des propos vulgaires,

3 - comment peut on accepter que des types qui sont à ce niveau d'irresponsabilité - celui d'un gamin de 12 ans dans une cour d'école - aient accès aux fonctions et aux secrets d'Etat ???!!!

J'ajoute ici le commentaire publiée sur Facebook par une journaliste de Causeur, que j'apprécie de plus en plus, Anne Sophie Anne-Sophie Chazaud. Il remet les pendule à la bonne heure.

"Allons bon, c’est reparti.

Les jérémiades unanimistes sur les méthodes employées pour saper la candidature Griveaux qui avait déjà un sérieux coup dans l’aile.

Culpabiliser l’opinion forcément voyeuriste, forcément coupable, et, comme d’habitude, les méchants réseaux sociaux.

Je suis évidemment en désaccord. Non pas que je cautionne ce genre de procédés qui, de toute évidence, émanent de son propre camp politique lequel ne savait pas comment s’en débarrasser.

Mais parce qu’on parle subitement d’intimité, de droit à la vie privée, de dignité, de décence, de violence.

Pardon mais qui a décidé en août 2017 de publier un décret ignoble visant à étendre la surveillance des propos (discriminants, injures, diffamation et ouin ouin et compagnie) dans la sphère des conversations privées, sinon cette majorité, qui aujourd’hui, tout à coup, redécouvre les vertus de l’intime ?

Par ailleurs, qu’y a t il dans le cerveau d’un homme politique qui se veut de premier plan, en 2020, pour ne pas être au courant qu’on ne se produit pas sexuellement sur les réseaux ? C’est quoi l’âge mental là ? Ou bien s’agit-il d’un tel sentiment d’être intouchable que l’on n’a à se soucier de rien ?

Enfin, parlant de dignité, moi ce que je trouve indigne et obscène, c’est cet État en totale débandade, ce pouvoir politique en complète déroute qui ne tient plus que sur le fil ténu d’une répression insensée, dont la parole publique est totalement déconsidérée et sans valeur. Réjouissons-nous, paraît-il, ce sont des amateurs.

Ce que je trouve obscène plus sûrement qu’une branlette qui m’indiffère et dont je n’ai que faire au delà du théâtre de Guignol, ce sont les paroles abjectes de Benjamin Griveaux sur le peuple Gilets Jaunes, cette vile populace qui fume des clopes et roule au diesel. C’est cette morgue et ce mépris.

Dans mon registre de valeurs, l’obscénité des méthodes, l’indignité et la violence, elles sont là.

Le reste ne nous regarde ni ne nous intéresse pas, sauf qu’il y a toujours un moment, lorsqu’on pisse en l’air, où l’on prend le risque que cela ne vous retombe dessus.

J'écris depuis longtemps que l'élection de Trump et le Brexit marquent la fin de l'ère ouverte par l'accession au pouvoir de Reagan et Thacher...

Je vous recommande vivement la lecture de cet article sur Boris Johnson qui, naturellement, ne trouvera aucun écho dans les organes de la ''Propagandastaffel'' française, mais qu'a traduit l'excellent site Les Crises.

Pour le reste, ce que Macron a dit ces jours-ci à propos de notre force de dissuasion nucléaire (ah oui et donc, pour appuyer sur le bouton, il faudra un vote à la majorité qualifiée au Conseil européen ???) relève à mes yeux de la haute trahison. Et les traîtres, ça se juge.

Sereine... Mauborgne : retenez ce nom , il est à inscrire dans le palmarès de l'histoire de l'ignominie. « Quand on s’achète de la générosité à bon prix sur le dos des entreprises, c’est quand même un peu facile ».

Cette "générosité à bon prix sur le dos des entreprises", c'est... 12 jours de congés pour les parents dont un enfant est... mort ! Quel coût économique insupportable !

Quelle "générosité à bon prix", nom de Dieu de nom de Dieu ! et "sur le dos des entreprises" : même le MEDEF se demande ce qui a bien pu mouvoir ces gens pour qu'ils se traînent ainsi dans l'immonde. A chaque fois tu crois qu'ils ont touché le fond, à chaque oeil crevé, main arrachée, tu penses qu'ils vont recouvrer juste un peu d'humanité? Et le lendemain, il y a toujours un de ces zombies qui trouve quelque chose de plus immonde et de plus odieux à baver !

Ces gens n'ont plus la moindre notion de décence; ils n'ont plus honte de rien.

Leur patron insulte, le sourire aux lèvres, ceux qu'il a faits éborgner ; eux ils insultent la douleur, ils crachent à la face des gens qui connaissent le deuil probablement le plus terrible qui soit - calmement, posément.

Ils parlent comme ils défèquent.

Sereine... D'autres mots me viennent en tête à votre propos. Ils sont tellement grossiers que je les retiendrai. Pour cette fois.

Sinon, hier soir, fut un soir de bonheur, c'est si rare !

Le Royaume-Uni est libre !

Comme en 1940, il nous montre la voie.

De bonheur et d'espoir : demain la France !

A mort la scélérate Union européenne!

Vive la Liberté ! Vive la Nation !

Quel bonheur de voir le torchon étoilé descendre du mât, à Gibraltar, où il a été remplacé par celui du Commonwealth : aux fripes !

Le Royaume-Uni, lui, reste une vraie démocratie : il s'est libéré de la tyrannie euro-allemande qui inverse les résultats des scrutins qui ne lui conviennent pas et écrase les peuples qui osent faire des choix contraires à ceux qu'elle dicte. Mon ami Frédéric Farah a écrit là-dessus un excellent papier sur le site de Marianne.

A Paris, François Asselineau, le président de l'UPR dont j'ai soutenu la liste aux européennes, avait réuni autour de lui une bonne partie de la galaxie souverainiste, dont Georges Kuzmanovic, le fondateur de République souveraine dont je soutiens les listes aux municipales de Paris, et qui a souligné que cette réunion, ces invitations, étaient dans l'esprit du CNR.

J'y étais invité et j'y serais allé si je n'étais pas où je suis. J'ai envoyé un message pour dire que j'y étais par la pensée. Il faut enfin, ici aussi, que se fasse l'union des patriotes démocrates.

Nous reprendrons ensuite nos débats sur la forme de société que nous voulons. La fin de l'UE, car si la France n'y est plus il n'y a plus d'UE, n'a pas à prédéterminer ce que sera la suite, parce que justement elle réouvre les choix possibles et redonne vie à une démocratie qui, dans l'UE, n'est plus qu'une forme vide et morte.

Oui ! il faut rassembler, apprendre à travailler ensemble pour dicter notre agenda comme Nigel Farage a su imposer celui du Brexit au Royaume-Uni, préparant le terrain à Boris Johnson qui a su rassembler l'électorat conservateur et la partie la plus populaires de l'électorat travailliste trahi par le calamiteux Corbyn et l'appareil blairiste du Labour.

Talentueux Nigel ! Son discours d'adieu au faux parlement qui siège à Strasbourg fut un régal, comme tant d'autres dans cette enceinte où l'on insulte chaque jour la démocratie, où règnent les lobbys, la connivence de l'oligarchie, la corruption. Un jour, viendra où tous les Européens, et non seulement les Britanniques vous remercieront, Nigel, d'avoir illustré avec tant de brio, de verve et de talent, la défense des peuples contre la dictature technocratique, la défense de la souveraineté contre la trahison des prétendues élites, la défense de la démocratie contre la tyrannie des culs-serrés et des pisse-vinaigre germano-bruxellois.

Pour finir, le Royaume-Uni a mis en circulation, hier, une nouvelle pièce de monnaie; elle porte les mentions suivantes : Peace, Prosperity and Friendship with all nations (Paix, Prospérité et Amitié avec toutes les nations).