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mardi 18 novembre 2014

Valls condamne le terrorisme à Jerusalem

Réponse de De Gaulle (27 novembre 1967) aux condamnations vides du "terrorisme" en Palestine du petit Valls, qui oublie juste qu'Israël occupe illégalement des territoires depuis 47 ans, qu'il y pratique une colonisation tout aussi illégale (rappelons que la IVe convention de Genève de 1949 interdit toute mesure de représailles d'une armée d'occupation contre les civils ou leurs biens, toutes les punitions collectives comme le dynamitage de maisons, toute déportation ou colonisation changeant l'équilibre démographique du territoire occupé), et qu'Israël balade le monde entier (qui se laisse balader) depuis les accords d'Oslo, il y a 23 ans :

"On sait que la voix de la France n’a pas été entendue. Israël, ayant attaqué, s’est emparé, en six jours de combat, des objectifs qu’il voulait atteindre. Maintenant, il organise sur les territoires qu’il a pris l’occupation qui ne peut aller sans oppression, répression, expulsions, et il s’y manifeste contre lui une résistance, qu’à son tour il qualifie de terrorisme."

Ca vous a tout de même une autre gueule que le petit Valls, d'autant que c'est appuyé sur une analyse historique et géopolitique que cet ignare de petit Valls, et tout ses petits clones adeptes du prêt-à-penser pro-israélien, seraient bien incapables d'articuler.

En Palestine, petit Valls, le premier terrorisme est un terrorisme d'Etat, et il dure, dans les territoires occupés, avec la complicité des grands démocrates de l'OTAN, depuis 47 ans.

A écouter jusqu'au bout.

mercredi 5 novembre 2014

Veine ! Il n'y a jamais eu autant de milliardaires en France !!!

On peut ignorer Picketty, qui démontre que le niveau d'inégalité est revenu aujourd'hui à celui d'avant 1914 ;

on peut continuer à appliquer aveuglément les diktats déflationnistes de Bruxelles, imposés par Berlin ;

on peut s'acharner à conserver une monnaie commune absurde entre des pays qui n'ont ni les mêmes forces, ni les mêmes contraintes, ni les mêmes structures démographiques, ni les mêmes besoins, ni les mêmes trajectoires ;

on peut continuer à aller dans le mur, à toute berzingue,grâce à cette politique et à cette monnaie qui avantagent la rente et détruisent le travail, qui enrichissent les riches et appauvrissent les pauvres ;

on peut !

Ca s'appelle de l'autisme, exactement comparable à celui des dirigeants de l'Ancien Régime qui ont imposé à la France une réaction aristocratique dans les années 1780, exactement comparable à celui des Brüning et Laval qui ont conduit la même politique de surévaluation monétaire et de déflation dans les années 1930.

Mais attention, parce que, en histoire, l'autisme ça se termine le plus souvent dans le sang.