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mardi 26 mai 2020

Les Français parlent aux Français...

Ici Nisyros, les Français parlent aux Français...

Grâce à Internet, j'interviendrai vendredi dans ce meeting.

La Buze reprend son vol parisien...

D'abord ils sélectionnent un mec qui montre sa queue sur son portable à ses conquêtes ; ensuite, alors que l'épidémie monte en puissance, ils envoient la ministre de la Santé remplacer l'exhib ; puis l'ex-ministre candidate qualifie la campagne qu'on lui a fait mener de "mascarade", ajoute qu'elle avait prévenu qu'on allait à la cata et fait savoir qu'elle a gardé les courriels ; son mari - un concentré de conflits d'intérêts - est viré du Conseil d'Etat où l'avaient nommé les patrons de la dame ; la dame fait alors savoir qu'il ne faudra pas compter sur elle pour le 2e tour de la mascarade... et pif paf, la voilà repartie en campagne !

On lui a laissé le choix entre cette option où le fond de la Seine les pieds dans un bloc de ciment, c'est ça ???

Dallas ton univers impitoyable, à côté de LREM, c'est le pays des bisounours !

Et il va y avoir encore des gens pour voter pour ces psychopathes, cette rombière et son gang ???

lundi 18 mai 2020

Colère

Tout doucement, le Traître nous prépare l'arrivée de la Troïka à Paris, le Kollabo dans l'âme crée les conditions d'une soumission de la France aux mémorandums du Reich, le Fregoli égotiste, qui aime trop sniffer le sucre en poudre, et se prend un jour pour Jupiter, le lendemain pour Napoléon, le mois d'après pour Clemenceau ou Churchill, avant de baver qu'il est le nouveau de Gaulle, s'achemine à grands pas vers le destin de Laval.

mercredi 6 mai 2020

Anticipation...

15 août 1971: Nixon annonce la suspension temporaire (qui dure toujours) de la convertibilité du dollar en or, la dévaluation dudit dollar, et une taxe de 10% sur les importations aux Etats-Unis.

15 août 2020: Macron annonce que, la France et les pays du sud ayant différé trop longtemps les réformes nécessaires pour donner confiance à l'Allemagne, et celle-ci ne pouvant plus participer aux programmes d'aide, suite à plusieurs arrêts de sa Cour constitutionnelle depuis celui du 5 mai, et à la décision du gouvernement allemand de bloquer toute utilisation du MES sans des contreparties raisonnables (un Gauleiter allemand devant contresigner toutes les décisions gouvernementales des pays irresponsables avant qu'elles ne deviennent applicables, seule solution pour que ces pays deviennent, eux, enfin responsables et européens, c'est-à-dire allemands... ce que Macron avait pourtant déjà accepté), l'Allemagne a décidé de rétablir temporairement la circulation du Deutschmark. Des espèces fabriquées et stockées depuis longtemps ont été mises en circulation immédiatement et les Allemands ont été invités à venir échanger aussitôt leurs euros.

En conséquence, la France n'ayant pu prévoir cette décision imprévisible et le président, que ses salopards de concitoyens n'ont pas voulu écouter alors qu'il est bien plus intelligent qu'eux (commentaires de Christophe Barbier, Nathalie Saint-Cricq, Alain Duhamel, Jean Quatremer - qui a ajouté : les Allemands sont des salauds, je vous l'avais bien dit, Brice Couturier, Maurice Szafran...), le président s'en remet au destin et convie ses salopards de concitoyens à se rendre dans leurs banques, dès que celles-ci rouvriront leurs portes, dans une quinzaine de jours - on vous précisera quand est-ce exactement quand on en saura nous-mêmes davantage, a indiqué Sibête -, afin de faire apposer sur leurs billets la contre-valeur en francs, avec un gros tampon rouge, en attendant la mise en circulation de nouvelles espèces.

"Espèces de connards, a conclu le président, vous allez voir maintenant comment que vous allez en chier grave pour n'avoir pas voulu comprendre le dirigeant génial que Dieu avait mis à votre tête !" Il semble que, dans l'heure qui a suivi la fin de cette allocution, il ait fallu que, à l'appel de sa maman, les pompiers de l'Elysée décrochent le président des rideaux auxquels il avait grimpé et qu'Emmanuel Macron a dû être transporté d'urgence à Charenton.

Gérard Larcher, président du Sénat, assure depuis l'intérim de la présidence de la République, jusqu'à la tenue de la prochaine élection présidentielle.