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17 messages - Moyenne des notes : 9.1/10

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16/12/2020 15:49 - Beauvais, France

17

CROUVISIER JEROME (81.251.69.---) - Note : 10/10
Bonjour,

J'ai lu beaucoup de vos livres, tous passionnants, et bien écrits (ce qui est rare de nos jours...) et tenais à vous remercier de ces agréables moments que j'ai passés en quelque sorte en votre compagnie...
Je suis professeur d'histoire et votre talent fera sans doute encore merveille pour le Thémistocle annoncé par H&;O...
J'ai hâte de vous lire, une fois de plus...
Prenez soin de vous, vous m'êtes précieux!
Très amicalement,
Jérôme.


Olivier Delorme : Quel plaisir de vous lire, Jérôme ! Et surtout aujourd'hui où je pleure une amie chère, et camarade de combat, Coralie Delaume, décédée hier. Des messages comme le vôtre font bondir le coeur et remplissent d'énergie ! Thémistocle est peut-être le livre que j'ai prie le plus de plaisir à écrire ; j'espère que vous en prendrez au moins autant à le lire !

04/12/2019 13:06 - France

16

Dupuy (92.138.159.---) - Note : 09/10
Très bien

08/03/2019 09:38 - France Toulouse

15

Riffault christophe (95.210.223.---) - Note : 10/10
Simplement merci pour votre travail d’écrivain et d’historien. Après l’or d’Alexandre, que j’avais aimé, je viens de lire à la suite Le plongeon et Tigrane ( dans cet ordre c’est important,). Un crescendo d’emotions et de plaisir littéraire , intellectuel et sensuel.
Encore merci.
C.


Olivier Delorme : Christophe, que vous dire d'autre, sinon que vous avez rendu cette journée un peu plus belle et un peu plus légère. La vie d'un écrivain n'est pas toujours simple - celle des livres non plus... singulièrement celle de Tigrane, sorti à La Différence deux mois avant que cette belle maison ne soit mise en liquidation judiciaire, disparu dans ce naufrage, puis rené grâce à H&O... Alors des témoignages comme le vôtre produisent plus que du plaisir. Ils payent de tous les efforts et de toutes les déconvenues ! Ils donnent le sentiment que, oui, si on a réussi à provoquer ce genre d'émotions, ça vaut la peine de continuer. Malgré tout. Merci donc, vivement, à vous !

08/05/2015 11:56 - 95160 Montmorencyp

14

Elisabeth Sire (90.3.62.---) - Note : 10/10 http://11, rue Notre-Dame
Je n'avais pas lu ( nul n'est parfait ) Les Ombres du Levant qu'on avait pourtant ds la bibliothèque familiale. J'y découvre avec ravissement votre description du 15 aout 40 à Tinos ( pas le torpillage de l'Helli, mais la montée vers la Panaghia ! ).
25 ans plus tard, j'ai passé 3 étés ( juillet-août ) comme étudiante au pair dans une famille grecque qui avait sa maison de vacances en haut de Tinos. Cette page me fait revivre l'éblouissement effaré de mes 17 ans ! Presqu'aussi émouvant, mais à ce moment- là, j'avais beaucoup sillonné la Grèce, le 28 octobre à Zakinthos, il y a une dizaine d'années...ou la vieille maison vide, à Khios, qu'a habitée Théotokas et que sa nièce nous a ouverte ( mon mari venait de traduire 'Argo ' en français). J'aime votre double aptitude à écrire sur la Grèce en amoureux objectif et en scientifique passionné. Merci.

12/09/2012 06:05 - FDzxkLfFRWCu

13

Yajjis (94.23.1.---) - Note : 05/10 http://www.facebook.com/profile.php?id=1 00003406607984
Ce n'est peut-être qu'une illusion car sans être capable de le formuler aussi clairement que vous ou simplement de l'expliquer, il me semble que je partage votre ressenti sur l'état de la société pour être générique bien comme il faut. Etrangement, depuis mon balcon, votre blog et vos articles, au même titre que le fascicule de Stéphane Hessel ou même de mon ressentiment sur la société, me paraissent s'intégrer parfaitement dans le paysage qui s'étend devant moi. Pourtant, vos articles, l'initiative de Mr Hessel m'émeuvent, et je dirais que c'est peut-être à cause de leur potentiel signifiant qui arrive à se distinguer de leur vide factuel. Je suis pauvre de mots pour m'exprimer, c'est pourquoi j'essaye d'emprunter maladroitement les vôtres dans l'espoir de me faire comprendre, j'espère que cela aura fonctionné.

Olivier Delorme : Merci de votre réaction. Si les mots que j'aligne suscitent des critiques, des émotions, des réflexions, le sentiment de correspondances, s'ils se font écho d'autres indignations ou s'ils peuvent les aider à prendre forme... alors ils ont atteint leur but.

03/06/2012 15:18 - France

12

Laima (178.94.17.---) - Note : 10/10 http://mamanova.hpage.com/
Rien a ajouter !!!
Site presque parfait
Bravo !


Olivier Delorme : Merci à Vous !

16/10/2011 20:48 - France

11

Paul (84.103.229.---) - Note : 09/10 http://www.tlig.org/fr.html
Sans provocation.
Il est possible qu'un autre corps soit et dont les délices soient sans rapport avec ceux d'un libertinage solaire.
S'il y avait vraiment un Jésus aussi réel qu'une pierre de lave et qui vous aime vraiment ?
Mais, j'insiste pas...
Sinon, site émouvant par sa franchise de ton.
With


Olivier Delorme : Merci de votre visite. Mais vos croyances, cher Paul, ne sont décidément pas les miennes. Tout est possible, bien sûr, mais vos options - celles de tous les monothéistes - me semblent tout de même (sans provocation) relever surtout du farfelu et de l'absurde : Credo quia absurdum, je sais bien... Mais voilà, ce n'est décidément pas la voie que j'ai choisie. D'autant que votre soi-disant Dieu d'amour tout-puissant (et son serviteur Paul) aura été la matrice de tous les totalitarismes, qu'il aura semé derrière lui, en 2000 ans, tant de honte de soi, de haine des autres, de sang, de souffrances et de violences, de malheurs individuels et collectifs que je lui préfère décidément la jouissance des corps et des esprits ici bas, la liberté de l'esprit et le libertinage solaire. Bien à Vous.

08/06/2010 17:47

10

Oceane (82.120.226.---)
Superbe création, félicitation pour le site.
Biz,
Oceane de voilier corse


Olivier Delorme : Merci de votre visite et de votre intérêt !

Le site, je le dois à Régine Foucault, une de mes fidèles lectrices et une fana de littérature... A voir absolument si vous aimez lire :
www.mondalire.com/
www.mondalire.com/carnets/


31/01/2010 08:39

9

serge (85.169.61.---) - Note : 09/10
Très beau site intéressant comme l'auteur bon courage un admirateur

Olivier Delorme : Merci Serge ! C'est à Régine, une lectrice qui m'a un jour proposé de le bâtir, que je le dois.

Cela me surprend toujours, sincèrement, de trouver des messages comme le vôtre... et de savoir que j'ai des "admirateurs"!

Tout cordialement

27/11/2008 00:07 - Lille

8

Virginie (85.69.139.---) - Note : 10/10
Après la lecture de la 'Quatrième Révélation' je m'étais promis d'être sérieuse, de ne pas céder à la tentation, de réviser... Je n'ai pas tenu une semaine, j'étais en manque d'histoire intéressante, bien construite, réfléchie... Je n'ai jamais attendu un livre aussi impatiemment ! (et comble de la frustration, il est resté perdu deux jours (trèèès longs) dans les cartons de la librairie)
Et je n'ai pas été déçue, bien au contraire ! Comment en une seule histoire peut-on trouver la plupart des thèmes qui vous intéressent ? Pour moi, ça a été de lire 'L'or d'Alexandre'. J'en oublierais certainement mais je vais en commenter les principaux :
Les conditions de détention : en peu de mots, vous avez parfaitement décrit les conditions déplorables des maisons d'arrêts. Je m'y suis revue. Et encore, j'ai la 'chance' d'intervenir dans un établissement neuf.
Les conséquences du handicap : je ne trouve pas les mots pour exprimer ce que je ressens en pensant à Philippe. Comment avez-vous put être si juste dans ses sentiments ?

Je n'aime, en général, pas trop les histoires écrites à la première personnes, car la plupart du temps, je les trouve mal écrite, répétitives... je n'ai pas eu ce sentiment un seul instant à la lecture de L'or. Vous m'avez réconcilié avec le 'Je' Et il rend le récit tellement plus fort...je me suis mise dans la peau de Stef et Philippe avec une telle facilité que je ne suis pas sûre d'arriver à en sortir de sitôt.

Comme je le pensais, j'ai dit bien peu de choses par rapport à tout ce que j'aimerais vous dire, à tout ce que j'ai pu éprouver en lisant cette histoire.
Merci de m'avoir fait rire, trembler et surtout réfléchir.

PS : j'espère que je n'ai pas oublié l'adresse mail cette fois-ci...


Olivier Delorme : Snif !

ben je ne la trouve pas, moi, cette foutue adresse courriel ! Vous avez bien renseigné la rubrique ? Si oui, c'est qu'il y a qq chose que je ne maîtrise pas et alors, il va falloir que je demande à Régine, qui a bâti ce site, de me dire où je peux la retrouver !

Bref ! tout cela me fait rosir de plaisir... l'attente, ce que vous dites de la lecture et de vos émotions : rire, trembler, réfléchir ! voilà exactement ce que je cherche à provoquer en écrivant. Trembler parce que c'est saisir le lecteur et le tenir pour l'emmener là où j'ai envie. Rire parce que je crois qu'il faut toujours essayer d'avoir la politesse de parler légèrement des choses graves. Réfléchir... parce que c'est pour cela que j'écris !

Mais deux choses me touchent particulièrement :

- ce que vous me dites de Philippe. Ce livre est né d'une rencontre, avec un lecteur handicapé, Michel Robert. De la colère qui m'a pris au fur et à mesure que je l'ai vu vivre, parce que, petit à petit, nous sommes devenus amis et que tous mes livres naissent d'une rencontre et de colères. C'est grâce à lui que j'ai pu écrire ce que j'ai écrit. Parce qu'il a répondu à mes questions, les plus indiscrètes, avec autant de sincérité que de courage. Pour le reste, le couple, j'ai essayé de m'imaginer handi et avec un mec - puisque Michel n'en a pas. Mais ce que m'a dit Gérard Coudougnan, que j'ai rencontré après la parution de L'Or, lui qui est aussi handi, de sa vie avec son Bernard, du voyage à Amsterdam comme de la difficulté à se vivre encore aimable, désirable, m'a fait croire que je n'avais pas trop mis à coté de la plaque.

- ce que vous me dites sur la prison, parce que si je n'y ai jamais mis un pied, ce que je lis, je vois, j'entends là-dessus, depuis des années sans qu'apparemment rien ne change, sinon en pire, constitue, comme je l'écris souvent dans mon blog, un incroyablement dangereux cancer de notre démocratie.

Et comme je suis aussi incurablement démocrate que j'ai, chevillée au coeur, une certaine idée de la dignité humaine, il me semble qu'il ne sert à rien d'écrire si l'on ne tente pas, en écrivant, de conduire ces combats-là.

Merci infiniment, en tout cas, Virginie, de votre lecture et de vos deux messages !!!

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