OD - Commentaires
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fr2016-12-24T11:18:57+01:00daily12016-12-24T11:18:57+01:00Iphigénie en Tauride : coup de gueule ! - Lady Byron
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2016-12-24T11:18:57+01:00Lady ByronCher olivier,
J'ai vu, il y a longtemps, Iphigénie et Alceste avec LA Shirley Verrett. C'était subliiiiiiiiiiime ! Gnagnagna ! Juste pour vous faire bisquer ! Instant de méchanceté. Et Fruttero et Lucentini… je les avait lus, aussi, très drôles.
Bonne fin d'année, comme on peut. C'est...Cher olivier,
J'ai vu, il y a longtemps, Iphigénie et Alceste avec LA Shirley Verrett. C'était subliiiiiiiiiiime ! Gnagnagna ! Juste pour vous faire bisquer ! Instant de méchanceté. Et Fruttero et Lucentini… je les avait lus, aussi, très drôles.
Bonne fin d'année, comme on peut. C'est dur… Ελεος
Lady Byron
]]>Iphigénie en Tauride : coup de gueule ! - Olivier Delorme
http://www.olivier-delorme.com/odblog/index.php?2016/12/22/793-iphigenie-en-tauride-coup-de-gueule#c17193
2016-12-24T10:34:35+01:00Olivier DelormeJ'adore Fruttero et Lucentini... ma découverte commence cependant à dater... et je ne me souviens pas de cette histoire : mais c'est tout-à-fait ça ! La fortune en moins en ce qui me concerne... Bonnes fin d'année à tous les deux !...J'adore Fruttero et Lucentini... ma découverte commence cependant à dater... et je ne me souviens pas de cette histoire : mais c'est tout-à-fait ça ! La fortune en moins en ce qui me concerne... Bonnes fin d'année à tous les deux !]]>Iphigénie en Tauride : coup de gueule ! - Linda
http://www.olivier-delorme.com/odblog/index.php?2016/12/22/793-iphigenie-en-tauride-coup-de-gueule#c17192
2016-12-23T18:58:30+01:00LindaBonjour Olivier,
Vous me rappelez un article de Fruttero et Lucentini, je crois que c'est dans le recueil "la prédominance du crétin". Ils racontent l'histoire d'un grand financier italien qui n'aurait manqué pour rien au monde l'ouverture de la Scala. Lassé de voir Falstaff dans un...Bonjour Olivier,
Vous me rappelez un article de Fruttero et Lucentini, je crois que c'est dans le recueil "la prédominance du crétin". Ils racontent l'histoire d'un grand financier italien qui n'aurait manqué pour rien au monde l'ouverture de la Scala. Lassé de voir Falstaff dans un usine métallurgique de la plaine du Pô ou des ténors chanter à l'intérieur d'un entonnoir géant, il avait fini par venir avec un boite remplie de lunettes aux verres plus ou moins noirs et avait instauré un genre de code que tout l'auditoire attendait : plus les lunettes qu'il choisissait étaient sombres plus il trouvait la mise en scène nulle et le faisait savoir. Je crois qu'un jour, il a trouvé les chanteurs si mauvais qu'il a sorti un walkman !