Bon on va passer vite sur la calamiteuse exhibition du freluquet au sourire de hyène et à la voix de fausset débitant ânerie sur mensonge. C'est simple : je ne peux plus ni le voir ni l'entendre. Ca me met en rage et me fait dresser les cheveux sur la tête. Pas bon pour mon coeur. Donc je me suis contenté de lire les résumé. Néant. Coblence : l'émigré de l'intérieur n'appendra ni ne comprendra jamais rien. Rideau.

Yeux crevés, mains arrachées, citoyens usant de leur droit constitutionnel de manifester jetés à terre, matraqués sans raison, tabassés, piétinés, justice aux ordres - fidèle aux bonnes vieilles traditions de Vichy -, journalistes coffrés pour un doigt d'honneur et maintenant... Fallait faire barrage, hein, les castors ? Des fois que les nouvelles chemises brunes auraient ordonné aux médecins de violer le secret médical pour ficher les opposants ! Ou des fois que des anciens candidats des sucesseurs du GUD deviendraient ministres et têtes de liste aux européennes ! Allez vous n'allez tout de même pas reprocher à une cervelle de Loiseau en 4e année de Science po de ne pas savoir où elle posait ses escarpins. Tête en l'air, va ! Non mais vous ne comprenez rien à l'amour ! Elle se faisait un petit facho qu'elle aurait suivi jusqu'au bout du monde ! Il était blond, il sentait bon la Kro et maniait le gourdin comme personne ! Zêtes pas romantiques, alors forcément...

Et puis ça n'est pas nouveau - Madelin, Longuet, Ponia... - que l'extrême centre, depuis Pinay et Giscard, offre le nid le plus douillet à l'extrême droite qui veut se montrer respectable.

Quant à la Grèce, c'est désormais plus que sûr et certain : elle va mieux !

La dette grecque a atteint, au quatrième trimestre 2018, son plus haut par rapport au PIB à 181,1 % (malgré une baisse en valeur absolue, mais c'est l'effet imparable de la déflation : le PIB fond plus vite que la dette ne baisse !). Son précédent plus haut était à 180,8 % en 2016, suivi d'une léger tassement à 178,6 % en 2017.

Rappelons que les infaillibles experts de l'UE et du FMI prévoyaient en 2010 que les plans de "redressement" ramèneraient la dette grecque à 120% du PIB en 2018, puis en 2011 ils révisaient leurs infaillibles prévisions à 130% en 2018, et en 2012, ils la voyaient à 140% en 2018... Damned, encore raté !

A quand le prochain mémorandum ? Après les élections bien sûr !

Ce sont les mêmes infaillibles experts qui prescrivent aujourd'hui à l'économie française, sous prétexte d'une dette excessive, les remèdes du bon docteur Kizyvienne...