Je m’en vais vous conter la chose la plus étonnante, la plus surprenante, la plus merveilleuse, la plus miraculeuse, la plus triomphante, la plus étourdissante, la plus inouïe, la plus singulière, la plus extraordinaire, la plus incroyable, la plus imprévue, la plus grande, la plus petite, la plus rare, la plus commune, la plus éclatante, la plus secrète jusqu’aujourd’hui, la plus brillante, la plus digne d’envie, la plus comique, la plus agitée, la plus excitante, la plus palpitante, en un mot la plus ahurissante ; enfin une chose dont on ne trouve point d’exemple dans les siècles passés, et qui même l’eût on trouvé, ne se serait point avéré comparable; une chose que l’on ne peut croire à Paris, ni à Montélimart, Valence, Mons et encore moins à Waterloo ; une chose qui fait crier gloire à presque tout le monde, et miséricorde à quelques uns ; une chose qui comble de joie le bon peuple venu de loin pour l’admirer ; une chose enfin qui débuta le 11 novembre 1918, pour se terminer le jour-même. Ceux qui l’auront vue croiront avoir rêvé . Je ne puis me résoudre à vous la dire ; devinez-la : je vous le donne en trois, je vous le donne en cent, je vous le donne en mille. Jetez-vous votre langue aux chiens ?

eh bien sur les photos de la signature de l'armistice, dans le wagon de Rethondes...

je sais c'est incroyable, mais c'est incontestable...

ce 11 novembre 1918, entre Foch et Weygand...

Face à Erzberger et Oberndorff...

mais si c'est Lui, bien sûr ; comme toujours, Il était là !

Nicolas Sarkozy de Nagy Bocsa !!!

Nicolas, c'est un peu, en un seul homme, intemporel, ubiquitaire, le comte de St Germain, l'Homme invisible et Superman réuni.

Il paraîtrait même qu'il était dans le cheval, vous savez, à Troie et qu'il apparaît dans L'Attaque de la moussaka géante

Pas étonnant, en vérité, que Jack Lang n'en puisse plus de ne pas être ministre d'un tel homme !

Et encore... tout cela n'est rien... vraiment rien !