Alors, les amis, on va la faire courte !

Comme vous, un matin de février dernier, soudain, je n'ai pu accéder à ce blog. Ni pour y écrire, ni pour le lire.

J'ai tout essayé : alerter l'hébergeur, lui demander pourquoi et comment je pouvais retrouver mon blog ; solliciter un ami qui touche sa bille en informatique... et qui a jeté l'éponge ; recourir à un professionnel... qui a lui aussi échoué à comprendre ce qui se passait.

Avec lui, j'ai alors décidé de rebâtir un nouveau site, celui-ci commence à dater, avec un nouveau blog sur lequel je pourrai, en cas de besoin, lui demander son aide. On travaille sur ce chantier qui devrait aboutir avant la fin de l'été.

Et puis clac, ce matin, je clique par erreur sur un lien qui va vers mon blog et je me rends compte qu'il est devenu de nouveau accessible à la lecture comme à l'écriture... et de manière aussi incompréhensible que dans l'autre sens ! Sans que personne y fasse rien.

Alors voilà, je vais recommencer à écrire et je vous mettrai, dans les jours qui viennent, les liens vers les papiers que j'ai publiés ici ou là durant cette période.

Je ne sais pas combien d'entre vous auront eu la constance de revenir voir de temps en temps si le blog refonctionnait, et combien vous serez à le suivre de nouveau. Mais je voulais vous dire que je ne suis pour rien dans cette disparition qui m'a empêché d'écrire ici (je l'ai amplement fait sur Facebook) sur ce vortex de catastrophes qui, de la funeste réélection de Macron au pitoyable et désastreux alignement de nos nains européens sur l'irresponsable politique de provocation américaine qui a conduit à la guerre en Ukraine, en passant par l'Etat de propagande hallucinant et tel que l'Europe n'en avait plus connu depuis le naufrage du Reich allemand, troisième du nom, nous entraîne de plus en plus vite vers le gouffre dans lequel l'Europe va passer à la périphérie du monde et de l'histoire en même temps que ses peuples vont connaître un processus de paupérisation à la grecque - et probablement en pire.

En attendant, voici un petit rappel à propos de l'état de tension entre Serbie et mafieux kosovars qui a menacé hier de dégénérer en affrontement ouvert.

1 - Les Yankees créent, sous prétexte d'une mise en scène de massacre à la Timisoara, ou probablement à la Bucha, un protectorat mafieux au Kosovo et y installent une grosse base militaire où ils peuvent détenir et torturer à loisir et en toute discrétion, sans que l'idée ne vienne à personne d'aller leur chercher des poux dans la tête.

2 - À l'inverse de ce qui se passe en Artsakh ou au Donbass, et comme ce qu'on tolère à Chypre et qu'on a officialisé au Sud Soudan, les Yankees détachent ce protectorat mafieux de la Serbie pour en faire (les principes sont élastiques) un prétendu État, non reconnu par une grande majorité d'Etats dans le monde et qu'il est donc impossible aux Ricains de faire entrer à l'ONU.

4 - L'Occident moralisateur et le bon docteur K se foutent que leurs protégés mafieux kosovars trafiquent les organes prélevés sur des prisonniers serbes, civils et militaires, vivants et, selon certains témoignages, sans anesthésie.

5 - Le tribunal prétendument international constitué pour punir les crimes de guerre et contre l'humanité en ex-Yougoslavie renonce à poursuivre ou acquitte, avec les félicitations du jury, tous les mafieux kosovars, protégés des moralisateurs occidentaux, car tous les témoins sont morts inopinément ou se sont rétractés à temps pour eux.

6 - L'ignoble Macron place sur la tribune d'honneur du centenaire de la fin de la Première Guerre mondiale, son ami Thaçi, dit Le Serpent, également grand copain de Merkel, chef des mafieux kosovars préleveurs d'organes, juste derrière lui, et relègue sur une tribune annexe le Premier Ministre de la Serbie, État martyr des Allemands et des Austro-Hongrois, qui, durant cette guerre, y ont pratiqué une tentative d'ethnocide perfectionnée durant la suivante en génocide industriel.

7 - Les Yankees refusent au nord du Kosovo, peuplé exclusivement de Serbes, le droit de se détacher du Kosovo mafieux qu'ils ont détaché de la Serbie. Toujours les principes élastiques.



8 - Ce nord du Kosovo, peuplé exclusivement de Serbes, est un coffre-fort minier dont le Maréchal Goering s'était réservé la jouissance personnelle entre 1941 et 1944.

9 - Les mafieux kosovars multiplient les provocations au nord, mais les Serbes du nord, qui n'ont pas particulièrement envie qu'on leur prélève leurs organes sans anesthésie pour faire du fric, ne se laissent pas faire. Ça tiraille.

10 - L'ambassadeur de la grande démocratie très très morale et très à cheval sur les principes élastiques quand il s'agit des autres, calment les mafieux kosovars. Les provocations sont différées d'un mois.

11 - ???