Absent de Paris depuis mars 2020, j'y reviens pour présenter mon Thémistocle :

- le jeudi 1er juillet à la librairie La Balustrade à partir de 18h00 (25 rue d'Alsace dans le 10e),

- les samedi 3 et dimanche 4 juillet au salon du roman historique de Levallois (parc de la Planchette), Thémistocle étant un des "finalistes" du prix des lecteurs. Le 3, je participerai à 16h00 à une rencontre animée par Karine Papillaud avant la remise de ce prix à 16h45.

Peut-être aurons-nous l'occasion de nous voir ou de nous revoir !

Sinon, aujourd'hui, nous avons encore droi à un barnum électoral privé de sens.

Ma vie de citoyen commença avec les municipales de 1977. J'ai toujours voté, soit directement soit par procuration, jusqu'à l'an passé, quel que soit le scrutin, municipal, cantonal, régional, législatif, présidentiel, référendaire. Même pour la parodie d'élection pour la parodie de parlement de l'UE.

Mais c'est terminé depuis les dernières municipales. Et pas parce que j'habite en Grèce.

Je ne me prêterai plus à cette comédie élective qui fait croire que nous sommes encore en démocratie et dont le cadre est vicié puisqu'il ne s'agit plus que de désigner le pareil ou le même qui agira, au mieux, sur des marges ridicules, à l'intérieur de contraintes définies à Berlin via Bruxelles, hors de tout contrôle véritablement démocratique du peuple français.

Le seul scrutin auquel je participerai désormais sera celui où pourrait se décider une sortie de l'UE.

Les guignolades entre fausse droite, fausses gauches, faux fascistes (quand je pense qu'en PACA le candidat prétendument "national", sensé défendre la cuture française contre l'islamisme, est cul et chemise avec le despote azéri allié au despote islamiste turc pour finir le génocide arménien, ça donne quand même une idée de l'infini !), faux barrages, faux verts et fausse extrême gauche tendance islamistes, et centristes vrais éborgneurs, c'est, en ce qui me concerne, terminé.

Et qu'on ne me fasse surtout pas le coup du pire et du moindre mal... parce que, au final, le moindre mal qui empêche la crise finale, c'est bel et bien le pire !

Vu d'un peu loin, mon pays n'est vraiment plus un pays sérieux. Impostures, simulacres, postures ridicules, polémiques insanes, sans queue ni tête, complots bidons et factieux de carnaval, résistants de baraques de foire aux masques ou aux vaccins, hystérie collective sur tout et n'importe quoi, diversions inclusives Lgbtqazertyop en tout genre, racisme qui se couvre de l'antiracisme, de la ségrégation, de la censure et de la destruction de notre histoire, indignations de commande sur une vidéo alors qu'on justifiait la veille une mission publique donnée à un rappeur appelant au viol et au meurtre d'ennemis politiques...

Tout cela dans la plus parfaite incohérence des uns comme des autres.

Et pendant ce temps-là l'UE et ses larbins poursuivent la liquidation de notre État, de ses services publics, de notre industrie, de notre Éducation nationale, de notre université, de notre recherche, de notre système de santé qui fut le meilleur du monde.

Et pendant ce temps-là, l'islamisme, sa 5e colonne erdoganienne, ses idiots utiles wokistes et no borders, rongent notre société, imposent leurs codes et leur intolérance par le sentimentalisme à deux balles, l'intimidation ou le meurtre...