La chancelière du Reich remet le prix du Reich à son Gauleiter français...

Ca me rappelle cette réponse de Pierre Juillet à Chirac, après que celui-ci l'eut remercié pour son rôle dans la conquête de la mairie de Paris : « c'est bien la première fois qu'un cheval remercie son jockey ».

Un peu plus tard, le même Juillet (d'autres attribuent la saillie à Marie-France Garaud, mais l'un étant l'alter ego de l'autre et réciproquement...), désabusé sur les qualités du poulain, aurait dit aussi : « Je le croyais taillé dans le marbre dont on fait les statues. Je me suis rendu compte que c'était du marbre dont on fait les lavabos »... Enfin, lavabo, c'est la version pour oreilles enfantines, on dit que la réalité se trouverait quelque part entre « chiottes » et «bidet » : qui fera jamais la lumière sur ce point... savoureux de l'histoire ?

En tout cas, « il se croyait » au lieu de « je le croyais » et ça peut resservir tel quel aussi.