Le gugusse qui est en contrat à durée déterminée à l'Elysée aura réussi, dans sa dernière allocution, à caser deux énormités : que la nation est donc une mosaïque de "communautés", parmi lesquelles la "communauté catholique" ; et que ce meurtre est une "profanation", c'est-à-dire un geste d'irrévérence et d'impiété.

Comment peut-on être à la place où il est, dans les circonstances où nous sommes, et employer des mots à ce point inappropriés et à ce point toxiques et pathogènes ? Des mots qui nous mettent exactement sur le terrain symbolique qu'a choisi le totalitarisme à l'oeuvre ? Comment peut-on faire preuve, à ce point, de confusion mentale ou de bêtise, et d'irresponsabilité ?

Quant à l'employé du Qatar et grand lécheur de babouches saoudiennes, il parle d'arguties juridiques pour qualifier l'Etat de droit...

Cette nomenklatura qui n'a plus d'autre projet que sa perpétuation au pouvoir est globalement faillie. Pour paraphraser Isonesco, maître en théâtre de l'absurde, la question : comment s'en débarrasser ?