Le cadeau de Noël qui m'es arrivé hier soir, le plus beau que j'aie reçu depuis des années, c'est la longue et belle critique que le magazine ''L'Histoire'' consacre à La Grèce et les Balkans, du Ve siècle à nos jours. Et la cerise sur le gâteau c'est qu'elle est signée de Maurice Sartre, un historien que je ne connais pas personnellement, qui sait ce qu'écrire signifie, que je respecte infiniment et que j'admire.

Il y a des moments où l'on se sent payé de tous ses efforts. Celui où j'ai lu ce papier, hier soir, est de ceux-là. Merci, monsieur Sartre.

Et puis il y a des moments où l'on prend un coup de vieux ! Ce fut hier matin, avec le courriel d'un étudiant en littérature française de l'Université de Sherbrooke (Canada) qui me demandait mon concours pour la communication qu'il va présenter à un colloque étudiant qui aura lieu en janvier 2014 à l'Université McGill de Montréal, sur le thème "Rivalités: l'écrivain et ses cibles", à travers mon dernier roman "Comment je n'ai pas eu le Goncourt" !

Me voilà donc transformé en sujet de dissection...

Je rigole, bien sûr, cela fait très plaisir !