Il y a 45 ans la Grèce se réveillait sous la botte d'une des juntes les plus bêtes du monde. Manolis Glézos, qui avait arraché en 41 le drapeau nazi de l'Acropole, Théodorakis et tant d'autres, reprenaient le chemin des camps de oncentration, ou des chambres de torture.

Aujourd'hui, la Grèce vit une nouvelle dictature, celle des banksters et de leurs larbins, les Merkozy, Lagarde, Barroso et autres Draghi.

Aujourd'hui c'est la Grèce entière, le peuple grec, qui sont devenus un camp de concentration et un champ d'esxpérimentation de la torture néolibérale.

Et Glézos, comme Théodorakis, sont toujours à la pointe du combat.

Plus encore qu'une autre jour, aujourd'hui nous sommes tous Grecs.

Place aux peuples !