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jeudi 8 mars 2012

"Si je suis battu, je me retire de la politique."

déclaration du jour de Caligula, époux en 3e noces de la milliardaire mononeuronale et modeste...

Et alors ? a-t-on envie de lui répondre. Voilà une puissante motivation de plus pour lui administrer la monumentale rouste électorale qu'il a tant méritée.

Rien de tel en somme, pour mobiliser un peuple dont il patiemment bâti la haine qu'il lui porte.

Mais au-delà ?

Au-delà, il faut bien constater que, Chez Caligula, l'hypertrophie du Moi est décidément maladive.

Est-Il capable d'aborder le moindre problème sans le lier à Son sort, dont tout le monde se contrefout ?

Apparemment pas.

Que ce cas pathologique ait pu accéder au bouton nucléaire pose donc vraiment problème. Le gaulliste que je suis et que je reste en tire la conclusion que si la Constitution de la Ve République a eu son utilité historique, elle a été profondément dénaturée par la funeste réforme du quinquennat qui transforme, de fait, le président en seul chef de l'exécutif, hors de tout contrôle parlementaire ou populaire. Si en 1958 et en 1962, il fallait renforcer l'exécutif pour le soustraire à la dictature des partis et au régime d'assemblée, l'accession à la présidence d'un monomaniaque égotiste montre, par l'absurde, qu'il faut aujourd'hui transformer profondément nos institutions dans un sens parlementaire.

"Nous sommes des gens modestes"

Signé la troisième épouse du calife...

Ben oui, la milliardaire qui crèche dans un ghetto de milliardaires, propriétaire d'une somptueuse villa au cap Nègre est... modeste.

Foutage de gueule ou insondable bêtise ? Les deux, sans doute.

Il y a du Marie-Antoinette chez cette sinistre sotte... Ces gens n'ont décidément aucune pudeur, ou ont perdu tout sens des réalités. Il va falloir que le peuple les remette à leur place. Il faut dire à Marie-Antoinette Bruni-Sarkozy que nous sommes quelque-part dans les années 1780 et que le peuple n'en peut plus de leur inconscience et de leurs provocations.

Tiens, en parlant de ça, l'ancien Premier ministre islandais, celui qui a laissé les banksters piller le pays et le mettre a genoux, est en train de passer en jugement. Il me semble que ça devrait donner des idées, au peuple grec par exemple, mais aussi à nous.

Vive l'insurrection civique ! comme dit le camarade Mélenchon.