De Chirac, fossoyeur du gaullisme, il restera une infinité de reniements et de palinodies, la trahison de ce qui faisait le socle même de ce qu'il prétendait défendre, Maastricht et le catastrophique euro qui ne seraient pas passés s'il n'avait pas fait voter Oui, l'aggravation du règne du fric par les privatisations, TF1, cinq ans d'immobilisme, une désastreuse politique européenne qui a accéléré le démontage de l'Europe du traité de Rome pour lui substituer une zone de libre-échange privée de sens et de volonté, beaucoup de malhonnêtetés qui ont contribué à faire de la France une République bananière et dont certaines viennent enfin de recevoir une sanction, Sarkozy en héritage...

et, face à ce monstrueux passif, une décision courageuse au moment de la guerre d'Irak.