La Grèce bouge, le Portugal bouge, même l'Angleterre et les Etats-Unis bougent, et les Français... attendent les élections.

Que ce soit le libéral fascistoïde énervé ou le libéral zapapandréiste mou qui l'emporte, le résultat sera le même, au style et à la marge près.

Alors mieux vaudrait commencer à bouger tout de suite, pour leur faire savoir que le peuple ne se laissera plus piller par leur nomenklatura aux ordres de la cleptocratie bancaire.