à notre auguste président dont certains ont quand même regretté, dans sa majorité, que ce ne soit pas lui qui ait eu le Nobel : eh oui, chère Linda, le ridicule ne tue plus. Cela dit le Nobel de la paix à Obama - et j'aime plutôt bien ce garçon, je ne guette pas, avide, comme nos médias imbéciles, son faux pas ou ses difficultés, mais enfin, il n'en est qu'aux gammes -, pour une fois, je suis d'accord avec Walesa, c'est pour le moins prématuré. Attendons qu'il ait au moins mis au pas le fauteur de guerre israélien, au moins aussi dangereux que l'Iranien, pour nous prononcer. Attendons les premiers vrais actes de paix ; pour l'instant il n'y en a eu aucun et les colonies continuent chaque jour à grossir, rendant chaque jour plus insupportable, plus dangereux, plus odieux, ce conflit qui empoisonne tout le Proche-Orient et toutes les relations internationales, et dont chacun connaît la solution - Obama comme les autres.

Mais je ne voulais parler ni du Nobel ni des rodomontades du Matamore qui nous sert de président.

Non je voulais parler d'une des autre face de Matamore : Jean, du lait qui lui coule du nez quand on le presse, et que papa va mettre à la tête de l'établissement gérant les fonds faramineux du premier centre d'affaires européen.

On sait toute l'honnêteté proverbiale de Matamore. La preuve ? Les Balkany, symboles vivants de la morale publique la plus exigeante, la plus rigoureuse, ne sont-ils pas des proches parmi les proches, jamais absents d'un déplacement matamorien.

Népotisme ? vous rigolez ! c'est bien sûr, et comme Mitterrand, pour ses seules, éclatantes et précoces qualités, que Jeannot est l'heureux élu de cette course à l'échalote hautdeseinienne !!! Ca vous étonne après que la France ait trouvé parfaitement régulière et sincère l'élection du fils du président Bongo à la présidence gabonaise ? Heureusement en tout cas que Carla ne s'appelle pas Eléna, il était capable, notre Conducator, notre Danube de la Pensée, de la faire nommer à l'Académie des sciences !

Voilà, voilà... Moi qui aime bien la vie des hommes illustres, et faute de pouvoir lire l'inutile Princesse de Clèves, je conseille donc à notre Matamore national de feuilleter La Vie des douze Césars : il y trouvera celle de Caligula... qui fit son cheval consul.

Voilà, voilà... vous aurez peut-être du mal à y accéder, moi je n'ai pas encore réussi à la signer : le site est trop encombré, mais si vous voulez apporter votre soutien à Jean Sarkozy, il faut cliquer ici.

Voilà, voilà... mais bon, c'est comme la votation citoyenne, hein, ça n'a aucun sens !

Voilà, voilà... ah si, encore, juste un coq-à-... l'âne, si j'ose dire : vous ne trouvez pas que M. Lefebvre c'est le comble de la vulgarité, une espèce de concentré, de synonyme, d'incarnation, pour tout dire, de la vulgarité ? Moi, chaque fois qu'il apparaît, je suis pris d'un incoercible haut-le-coeur...